Malgré les demandes d’une association de la faire euthanasier, la pouliche blessée est encore en vie.
La pouliche de Crançot va-t-elle prendre la direction de l’abattoir ou être euthanasiée sans intégrer la filière viande ?
La question demeure.
Le vétérinaire sanitaire de l’éleveur a jugé que l’animal était apte à intégrer la filière viande.
La Ligue française de protection du cheval (LFPC) milite pour qu’il soit euthanasié. L’association s’alarme de la souffrance ressentie par l’animal dont l’antérieur droit apparaît gangrené.
Selon nos informations, la pouliche pourrait souffrir d’une chéloïde, c’est-à-dire d’une forme de cicatrice pouvant entraîner des démangeaisons mais dont la manifestation n’atteste pas d’une infection.
Si cette pouliche de race comtoise était atteinte de chéloïde, elle pourrait intégrer la filière viande. Cette option rapporterait de l’argent à l’éleveur quand l’euthanasie sans intégration de la filière viande lui en coûterait.
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