Il n’y a pas de doute : une mort prolongée et douloureuse par poison est cruelle.
Tuer des loups, des coyotes et des ours n’est pas une solution aux conflits entre l’homme et ces animaux. Et concernant les poisons cruels et aveugles actuellement utilisés pour tuer les loups, les ours et les coyotes au Canada (strychnine, Composé 1080), il existe suffisamment de preuves scientifiques pour conclure que ces poisons sont abominables et ne devraient pas être utilisés.
Envoyez un message aux gouvernements du Canada et de l’Alberta, en leur demandant de mettre un terme à l’empoisonnement cruel et inutile des animaux sauvages. Votre lettre pourrait contribuer à sauver des milliers d’animaux d’une mort cruelle et atroce.
Lettre qui sera envoyée aux gouvernements du Canada et de l'Alberta suite à vos signatures :
A l’attention des gouvernements du Canada et de l’Alberta
Je vous écris pour vous faire part de mes préoccupations concernant la politique actuelle autorisant l’utilisation de poison pour tuer les loups, les ours et les coyotes au Canada. Il existe suffisamment de preuves scientifiques indiquant que l’utilisation de la strychnine et du Composé 1080 pour tuer les grands prédateurs vertébrés est cruelle. Je souhaite que l’on mette fin immédiatement à l’utilisation de ces poisons pour tuer les loups, les ours et les coyotes en Alberta et au Canada.
L’utilisation de ces poisons est contraire aux directives du Conseil canadien de protection des animaux, de l’Association canadienne des médecins vétérinaires, de l’Association américaine des médecins vétérinaires et de la Société américaine des mammalogistes.
La strychnine et le Composé 1080 sont des poisons cruels et aveugles, qui provoquent des douleurs et des souffrances inutiles et tuent bien plus d’animaux que ceux auxquels ils sont destinés. Ces poisons n’ont rien à faire au sein de pratiques modernes de conservation de la faune.
Les loups, les grizzlis et les coyotes sont des prédateurs supérieurs qui jouent un rôle important dans l’écosystème. Rien ne prouve scientifiquement que tuer les prédateurs contribuera au rétablissement des populations de proies, comme le caribou, ou à la réduction des conflits entre l’homme et la faune. Je demande instamment à vos gouvernements d’investir dans des méthodes non cruelles et non létales pour gérer les conflits entre l’homme et la faune sauvage.
Cordialement,
Vous êtes sûr ? Votre mobilisation est importante pour que les pétitions atteignent la victoire !
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