Comment peut-on, en 2025, continuer à vendre des êtres sensibles destinés à être torturés comme le fait le Decathlon de Cestas ? Pour ce qu’on appelle la pêche au vif, une pratique d’une extrême cruauté, condamnée par de plus en plus de citoyens et citoyennes, de politiques et de scientifiques, le magasin commercialise poissons et crabes vivants.
Il est temps de le dire clairement : les poissons ressentent la douleur. Ce ne sont pas des objets. Ce sont des êtres vivants dotés d’un système nerveux complexe. Tout comme les crabes ! En 2021, une étude rigoureuse commandée par le gouvernement britannique et menée par la London School of Economics a conclu sans ambiguïté que : « Les crabes, poulpes et homards doivent être reconnus comme des êtres sensibles et protégés en conséquence. »
Les chercheurs ont souligné qu’il existe des preuves scientifiques solides que les crabes peuvent ressentir la douleur, l’angoisse et la détresse, et qu’il est donc nécessaire de leur accorder une protection légale.
Alors pourquoi Decathlon continue-t-il à vendre ces animaux comme du matériel de pêche ? Pourquoi les traiter comme des appâts jetables, insensibles, alors même que la société évolue, que des pays comme l’Allemagne et la Suisse ont interdit cette pratique, et que des parlementaires français demandent son interdiction ?
Nous, signataires de cette pétition, demandons à Decathlon Cestas d’arrêter immédiatement la vente de poissons et de crabes vivants destinés à la pêche au vif. Nous nous joignons à l’association PAZ, qui lutte sans relâche contre cette pratique barbare, et rappelons que le sport ne peut se faire au prix de la cruauté. Grâce à PAZ, de nombreux magasins ont arrêté d’alimenter la pêche au vif. Ensemble, nous réclamons que TOUS les magasins Decathlon français rejoignent le mouvement.
Vous êtes sûr ? Votre mobilisation est importante pour que les pétitions atteignent la victoire !
Sachez que vous pouvez vous désinscrire dès que vous le souhaitez.