Chez Decathlon, il est possible d’acheter un vélo, un maillot, ou... un animal vivant. À Bron et à Beynost, les magasins de l’enseigne vendent des poissons destinés à la pêche au vif. Mais ici, pas d’aquarium visible pour choquer les clients : les ventes se font en toute discrétion, uniquement sur commande. Ce tour de passe-passe ne trompe personne. Qu’elle soit visible ou non, cette activité reste profondément cruelle.
La pêche au vif, c’est quoi ? C’est planter un hameçon dans un poisson vivant, le jeter à l’eau encore conscient, et le laisser se débattre, souffrir, et mourir lentement — soit d’épuisement, soit dans la gueule d’un carnassier. Aucun animal ne mérite un tel sort. Le tout pour une activité de… LOISIR ! Et pourtant, les Decathlon de Bron et Beynost y participent activement… tout en le cachant.
Vendre sur commande n’efface en rien la responsabilité morale de ces magasins. C’est au contraire une manière de masquer un commerce honteux que de plus en plus de citoyennes et citoyens rejettent. Cette stratégie montre que Decathlon a conscience de l’indignation que cette pratique suscite, mais choisit malgré tout de maintenir ce business de la souffrance.
Avec l’association de protection animale PAZ, nous exigeons que les Decathlon de Bron et Beynost cessent immédiatement la vente de poissons vivants, même sur commande. Les poissons ne sont pas du matériel de pêche. Ce sont des êtres sensibles. Qu’ils soient en rayon ou vendus discrètement, leur torture reste inacceptable.
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