Il n'existe aucun centre de soins pour les oiseaux marins en région P.A.C.A
Goélands, mouettes, cormorans, tous sont victimes de la surpêche, de la pollution aux hydrocarbures, des microplastiques...
Mais encore d'accidents routiers ou d'actes de cruauté en tout genre.
Ce sont principalement les goélands Leucophée (espèce protégée) qui sont exposés, visés (même par des boules de pétanque !).
Notamment les jeunes (juvéniles) lors de leurs premiers vols ou pas sur la terre ferme.
En été, c’est l'hécatombe !
On retrouve leurs cadavres aplatis sur la route ou survivants, errants boiteux et hagards dans les jardins de la ville.
Beaucoup sont devenus unijambistes ou sont entravés par des fils de pêche, des hameçons, des palangres...
Souvent, avec une aile cassée, celle-ci, traînant sur le sol et la vision d'un si bel oiseau en si triste état crève le cœur.
Ils meurent lentement de leurs souffrances, sans se cacher.
Quand quelqu'un s'aventure à le secourir, c'est le parcours du combattant pour trouver un vétérinaire qui accepte de le consulter, de le soigner, le plus souvent, c'est l'EUTHANASIE.
Faute de structure d'accueil et de personnel qualifié.
Il n'existe pas d'association compétente et le seul centre de faune sauvage de la région, ne prend actuellement plus d'animaux en charge.
Les autres se situent à plus de 200 km et refusent les nouveaux cas, parce qu'ils sont surchargés.
En réalité, les associations peinent à œuvrer, à subsister.
C'est pourquoi il conviendrait que ce soit la collectivité qui assume financièrement, et qui mette en place des formations de soigneurs animaliers faune sauvage.
On bichonne des monuments, des statues, des ruelles au nom du patrimoine, mais celui-ci qui est vivant, on le néglige, on le méprise lorsqu'il est abîmé, on le tue.
Il est l'oiseau de la résilience, il en est le parfait symbole avec son endurance et sa résistance aux épreuves.
Nous l'admirons quand il fait ses acrobaties dans le ciel ou pendant qu'il plane gracieusement.
Des touristes font des centaines de km pour voir cela.
Il n'a qu'un seul défaut, sa voracité, il est sans pitié pour nos parts de pizza.
Mais avouez qu'on vient manger sous leur nez et pour beaucoup d'entre nous, c'est un plaisir de partager avec cet être attachiant.
Nous empiétons, polluons sur son habitat et lui laissons nos déchets pour se restaurer.
C'est une bien maigre réparation, un "devoir" minimum, que d'offrir à cet emblématique oiseau, une chance d'être secouru et soigné comme toute espèce sauvage, d'autant qu'elle est protégée.
Toute la faune sauvage locale est impactée par nos activités, renards, écureuils, hérisson, chevreuils...
Alors nous devrions agir pour ne pas la perdre ou la voir en mauvais état.
OUI AU CENTRE DE SOIN ET DE RÉHABILITATION POUR LES OISEAUX MARINS EN RÉGION P.A.C.A
Merci de bien vouloir signer et partager cette pétition en faveur des oiseaux marins de la côte d'Azur.
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