C’est le cadavre momifié d’Ivan, un chien de 6 ans de race berger belge, qui a récemment été retrouvé.
Le chien appartenait à un agent de la police ferroviaire qui l’a, en pleine conscience, laissé à l’abandon à son propre domicile.
Ivan est décédé seul, oublié, déshydraté, affamé, à la suite d’un affaiblissement profond.
L’homme ne revenait au domicile que pour vérifier si le chien était bien mort.
Ce chien avait servi la brigade cynophile toute sa vie avant de prendre sa retraite. Et c’est ce genre de repos qui lui a été offert. C’est impardonnable.
Avant d’être découvert, le cadavre est resté à l’air libre pendant des mois. Son propriétaire le gardait enfermé clandestinement dans l’appartement, qui n’est pas son domicile conjugal.
Le policier a été retiré de ses fonctions. Mais nous attendons qu’il soit puni telles que le décrètent les lois concernant les maltraitances envers les animaux.
Nous ne pouvons tolérer qu’un homme, appartenant à la fonction publique, censé nous protéger et possédant une arme, n’encoure pas les peines énumérées dans les textes de loi. Alors qu’il a laissé mourir un être vivant – doué de sensibilité – en le privant de ses besoins vitaux.
Il doit payer pour son crime, et surtout, ne plus jamais posséder un animal. Ce n’est pas parce que son chien de travail part à la retraite qu’il doit s’en débarrasser. L’oublier. Au profit d’un nouveau chien, plus jeune, qui finira comme Ivan.
Apportons notre soutien à la fondation 30 Millions d’amis qui a porté plainte contre cet individu.
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