Les animaux de compagnie n’étant ni des produits de luxe ni des biens de consommation, mais comme les humains des êtres vivants à part entière, pourvus de sensibilité, doivent être à ce titre traités comme il se doit car ils intègrent intégralement notre vie et notre bien être affectif.
Compte tenu des montants des prestations pratiqués par les vétérinaires et ceux des laboratoires, l’impact d’une TVA prohibitive à 20% induit de fait un surcoût important des factures et implicitement des carences de soins pour les animaux de personnes à faibles et moyennes ressources.
Il est donc de fait inadmissible, d’être confronté à des situations imposant soit de contracter un crédit, soit de laisser se dégrader à contre cœur l’état de l’animal, soit de basculer vers la solution extrême, voire pour certaines personnes ignobles de verser vers un acte horrible, celui de l’abandon.
Bien que des mutuelles existent, il demeure pas moins que l’investissement n’est pas moindre et que les remboursements restent très restrictifs.
En conclusion, une baisse de cette TVA a 5,5% permettrait à chacun de garantir une qualité de soins et ce quelque soit la situation personnelle des possesseurs d’animaux de compagnie.