Monsieur le Ministre,
Je me suis rendue dans une animalerie où je n’ai pu retenir mes larmes lorsque j’ai vu tous ces pauvres animaux enfermés dans des vitrines.
Tous, qu’ils soient reptiles, rongeurs, animaux de basse cour et domestiques m’ont montré leur détresse dans leurs yeux.
Monsieur le Ministre, nous avons avancé sur le fait que l’animal a été reconnu comme étant un être sensible. Alors continuons dans cet objectif en le considérant comme tel et donc en le traitant comme tel.
Interdisons la vente d’animaux dans les animaleries ainsi que chez les particuliers.
Dans les animaleries ils sont enfermés tous les jours dans des vitrines avec leurs excréments, et chez les particuliers ils sont souvent traités comme des gagnes pains.
Les refuges aujourd’hui sont surchargés de pauvres animaux malheureux, il est temps de prendre une décision sur ce fléau.
La question que je me pose est : que font-ils des invendus?
Dans l’espoir que vous m’aiderez à améliorer les conditions de vie de tous ces animaux, veuillez recevoir, Monsieur le Ministre, mes salutations les plus respectueuses.
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