Justice pour Rémi et Dominique : Arrêtons les amendes absurdes contre les chats errants ! Non à l’emprisonnement des animaux de compagnie !
Chers concitoyens, amoureux des animaux et défenseurs de la justice équitable,
Je me fais l'écho de la détresse de Dominique Valdès, une retraitée d’Agde (Hérault), qui a été condamnée à payer 1 250 euros d’amende car son chat, Rémi, un innocent matou roux, se promenait chez un voisin.
Cette décision, rendue par le tribunal de Béziers le 17 janvier 2025, est non seulement disproportionnée, mais elle pourrait établir une jurisprudence dangereuse pour tous les propriétaires de chats en France. En effet, cette situation soulève des questions éthiques et juridiques sur la responsabilité des animaux de compagnie et leur liberté de mouvement.
Je suis profondément choqué par cette décision qui semble ignorer le fait que les chats, par leur nature, aiment explorer leur environnement.
Nous devons agir pour protéger nos amis à quatre pattes et mettre fin à de telles amendes absurdes.
Pour cela, je demande aux autorités compétentes de revoir cette décision et de mettre en place des mesures plus adaptées à la réalité des comportements félins. Il est essentiel que des lois soient établies pour protéger les propriétaires d’animaux de compagnie et éviter des sanctions injustes. Des campagnes de sensibilisation sur la cohabitation entre animaux et voisins pourraient également être mises en place, afin de favoriser le dialogue et la compréhension.
Je vous invite à signer cette pétition pour montrer notre soutien à Dominique et à tous les propriétaires de chats qui pourraient être touchés par des décisions similaires. Il est urgent d'agir pour défendre nos animaux et éviter que des situations aussi injustes ne se reproduisent. Merci de votre soutien et de votre engagement pour une cause qui nous touche tous.
Nos demandes :
1. Annulation ou révision de la condamnation : Un appel pour réexaminer l’affaire au regard du manque de preuves et de la disproportion de la peine.
2. Pas de jurisprudence restrictive : Le ministère de la Justice doit clarifier que les divagations naturelles des chats ne peuvent justifier de telles sanctions, sauf en cas de dommages avérés et graves.
3. Soutien aux victimes de conflits de voisinage : Mise en place de médiations gratuites pour les litiges impliquant des animaux, plutôt que des poursuites judiciaires coûteuses.
4. Protection des animaux : Encourager des solutions bienveillantes, comme des clôtures adaptées ou des aides pour litières, au lieu de punir les propriétaires.
Dominique n’est pas une délinquante, et Rémi n’est pas un criminel. Cette affaire est un scandale qui touche au cœur de notre relation avec les animaux de compagnie. Ensemble, défendons la liberté des chats et la dignité de leurs maîtres !
Contact pour plus d’infos : Dominique Valdès ou la SPA locale ([email protected]).
Partagez, signez et agissez !
#JusticePourRemi #LibertéAuxChats #StopAuxAmendesAbsurdes
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