Chers tous,
C’est maintenant que tout se joue pour enfin savoir ce qu’il est arrivé à Tiphaine.
Sans l’appui de la diplomatie française et du Président Emmanuel Macron, la personne qui lui a fait du mal ne sera jamais arrêtée.
Nous comptons sur vous : signez et partagez massivement cette pétition !
Monsieur le Président de la République,
Depuis maintenant sept années, nous nous battons sans relâche pour retrouver Tiphaine et comprendre ce qui lui est arrivé.
Le dernier voyage de Damien a permis de révéler des avancées majeures. Pourtant, malgré la découverte d’informations déterminantes, la police reste inflexible. Elle refuse toujours d’ouvrir une enquête criminelle. Pire encore, la personne qui a probablement fait du mal à Tiphaine ne sera pas interrogée.
L’élément central concerne l’application Google.
L’expert Paul-Olivier Dehaye, mathématicien, spécialiste de l’analyse des données brutes et fondateur de l’entreprise Hestia.ai, a réalisé une expertise accablante. Ses conclusions démontrent que Tiphaine n’est pas sortie de l’hôtel le 29 juillet 2018, contrairement à ce qu’affirme le principal suspect, le gérant de l’établissement où elle logeait.
Deux éléments nous glacent le sang :
Un suspect protégé malgré des charges lourdes ?
Lors de la réunion du mois de juillet avec la police, en présence de l’ambassade, nous avions – comme toujours – préparé nos questions en amont. La police a affirmé que le gérant de l’hôtel était innocent, soulignant qu’ils le connaissaient bien puisqu’il est policier volontaire dans leurs services.
Dans la seconde partie de la réunion, lorsque Damien a présenté le rapport, l’atmosphère s’est tendue. Ce document plaçait clairement la police face à ses responsabilités. Notre objectif n’était pourtant pas de les mettre en difficulté, mais de leur offrir une véritable possibilité d’agir. Et pourtant…
La police de Nikko réfute les nouveaux éléments.
Quelques semaines plus tard, des policiers de Nikko déclaraient à une journaliste française qu’ils avaient déjà rédigé un rapport et analysé les données Google. Or, même si la police a bien reçu le rapport par l’intermédiaire de l’ambassade, elle ne dispose pas des données Google elles-mêmes – données hautement techniques qui nécessitent une expertise spécifique.
Nous ne les avons jamais transmises car aucune demande officielle ne nous a été adressée.
Ce mensonge est extrêmement préoccupant et laisse craindre une volonté délibérée d’inaction.
Monsieur le Président, votre intervention est aujourd’hui notre dernier espoir.
Votre soutien en 2018 et 2019 avait permis d’ouvrir un canal de communication direct entre la diplomatie française et japonaise. Mais cette coopération est restée, côté nippon, largement de façade – ce que déplore également l’ONU après nos demandes répétées.
Désormais, votre aide est essentielle : en nous recevant et en interpellant directement le Premier ministre japonais pour qu’une véritable enquête soit ouverte, notamment avec l’audition et l’arrestation des suspects, vous pourriez permettre que la vérité sur la disparition de Tiphaine soit enfin révélée.
En réponse à la lettre conjointe de nos élus (Léonore Moncond’huy, Lise Belluco et Sacha Houlié), vous aviez exprimé la possibilité de nous recevoir avec votre épouse. Nous espérons sincèrement que cette rencontre pourra se tenir.
Enfin, nous craignons que les juges du pôle de Nanterre en charge du dossier de Tiphaine se heurtent à une coopération impossible : la police de Nikko nous a déjà indiqué, lors de la dernière réunion, qu’elle ne transmettrait pas les éléments demandés dans le cadre de la commission rogatoire internationale encore en cours au Japon.
Monsieur le Président, nous comptons plus que jamais sur votre aide pour que la vérité sur Tiphaine ne soit pas enterrée.
La famille de Tiphaine
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