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Intersyndicale Châlons en Champagne
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Destinataire(s) :
l'Agence Régionale de Santé Grand Est
La pétition
LA SANTE N'A PAS DE PRIX !!
Aujourd'hui notre Hôpital public de Châlons-en-Champagne est en danger !
Le gouvernement et les politiques locaux valident la destruction de notre hôpital en autorisant l'installation du Groupe Courlancy.
Nous devons garder toutes nos activités en filière publique:
- Les Urgences qui assurent 24H/24H la prise en charge des patients : 30 000 passages en 2016. - Le Bloc Opératoire : 5 000 interventions chirurgicales en 2016. - La Maternité : 1 000 accouchements en 2016.
Nous devons défendre TOUS les emplois ! Ils assurent les soins de proximité aux patients : garantie d'une prise en charge de qualité !
Nous devons donc défendre notre hôpital public en nous mobilisant !
Le gouvernement doit : - Assurer l'accès aux soins pour TOUS. - Donner des financements supplémentaires pour de meilleurs conditions de travail des personnels hospitaliers. - Effacer le déficit de l'hôpital.
TOUS ENSEMBLE pour sauver notre hôpital !
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On ne peut pas, ne pas réagir et laisser procéder au retrait des "parts de marchés" à l’Hôpital, pour venir anéantir un service public de qualité. S’il s’agit réellement d’un objectif politique, il serait utile pour la population d’en comprendre les raisons, qui sont contraires à l’intérêt public et viennent en parfaite contradiction avec la défense du service public hospitalier, tant prônée par nos élus locaux et par les dirigeants ARS (plus rien à comprendre !). Il y aurait-il une divergence d’opinions sur les intérêts à servir ? Compte-tenu des enjeux humains, il faut réveiller les consciences car notre santé est notre bien le plus précieux. Châlons, comme ailleurs, ne doit pas être l'emblème d'un retour en arrière, synonyme d'un retour aux privilèges, mais doit être à l'origine d'avancées significatives.... La Santé ne doit pas être un privilège mais un DROIT !! Nous nous devons de défendre l’Avenir de l’Hôpital, et l'héritage que nous laisserons à nos enfants. Pensons également à nos vieux jours, et à la façon dont nous souhaiterions être traités si nous étions malades. L’Abbé Pierre ne disait-il pas : « La 1ère règle avant d’agir, consiste à se mettre à la place de l’autre. Nulle vraie recherche du bien commun ne sera possible hors de là ».
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Roland - Le 15/12/2016 à 16:13:22
il faut : FAIRE PAYER LES PAYS qui doivent de l'argent A LA SECURITE SOCIALE QUI A ETE CREEE APRES GUERRE PAR LES SALARIES POUR LES SALARIES A LA SUEUR DE LEUR FRONT !!...la santé est devenue un BUSINESS !! ET C EST UNE HONTE..TOUT LE MONDE PROFITE DU SYSTEME ET GASPILLE AU RISQUE DE LE FAIRE PLONGER....DE TROS GROS SALAIRES DANS CETTE ADMNISTRATION (les gestionnaires) et AUX URGENCES : FAIRE PAYER LES CONSULTATIONS ...QUI NE SONT PAS DES URGENCES !!!! ça suffit d'emmerder et d'agresser le personnel soignant pour des bobos pouvant être soigné par des médecins de garde !!! les urgences sont saturés et les veritables urgences prennent des risques énormes pour leur vie à cause d'une poignée de connards qui se croient PRIORITAIRES !!!
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Marie christine - Le 16/12/2016 à 19:41:15
Si rien est fait c est la moitié des hôpitaux qui vont disparaître en France il ne restera que les grands groupes tout se décidé à Paris. Tout pour eux et les grandes villes les autres peuvent mourir c est celà le droit aux soins...
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