Me Hermann Yameogo est aux arrêts depuis le 5 octobre 2015 pour n'avoir pas condamné le coup d'état au Burkina Faso du général Diendiéré.
C'est de liberté d'expression dont il s'agit, étant donné que Me Hermann Yameogo n'est ni de près, ni de loin mêlé au putsh.
Nous demandons aux autorités de la transition et aux nouvelles autorités, non seulement la libération de Me Hermann Yaméogo, mais également des excuses.
Le Burkina Faso renoue ainsi avec la pratique des prisonniers politiques.
Quelle honte !
On peut ne pas aimer le fils de l'ancien président, mais en aucun cas l'enfermer pour les idées qu'il combat.
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