Les Nuits de Fourvières est le festival d'Eté qui est organisé de la métropole de Lyon. Durant cet événement culturel, les festivaliers peuvent profiter de diffèrent concert avec des pointures internationales comme le groupe de pop-rock RadioHead en ouverture cette année. C'est un festival pluridisciplinaire du spectacle vivant au concert musical. Avec plus de 140 000 spectateurs, cela en fait un des plus grands festival de spectacle vivant de France.
La Chambre régional des comptes (CRC) souligne que ce festival " reste subventionné à hauteur de près de 40 % ". Il doit donc répondre aux exigences de service publique de la culture. Cet événement culturel doit donc être accessible au plus grand nombre des citoyens de la métropole de Lyon. Par conséquent, il semble problématique l'existence de tarif unique pour les concerts et spectacle. La chambre régional des comptes, ne dit pas autre chose dans son observation de la régie des Nuits de Fourvière : " Le Conseil d'Administration lui revient en outre d’arrêter une véritable politique tarifaire, en particulier au regard de l‘une des missions assignées à la régie, visant à permettre l’accès du festival à tous les publics. Il devrait également pouvoir disposer d’informations suffisantes sur les différents publics et les coûts des différentes activités et des différents spectacles. La démocratisation de l’accès à la culture ne revêt en effet pas le même enjeu concernant la variété ou les autres disciplines du spectacle vivant." L'enjeu de la démocratisation de l'accès à la culture est clé dans la période que nous vivons des montées des populismes et de la xénophobie.
Tolérance, ouverture d'esprit sont des valeurs qui sont véhiculés par la culture.
Je demande votre aide pour que la Métropole de Lyon prenne en compte les critiques de la CRC sur la mise en place d'une politique tarifaire du festival pour que cet événement soit accessible à tous pour une démocratisation de l'accès à la culture dans notre métropole.
Comme disait l'écrivain chinois Gao Xingjian : " La culture n'est pas un luxe, c'est une nécessité."